DiscoverGÉOPOLITIQUE PROFONDE (www.geopolitique-profonde.com)CINÉMA, ISRAËL, ÉTATS-UNIS : QUI SUPPORTE ENCORE LA PROPAGANDE ? | GPTV INVESTIGATION
CINÉMA, ISRAËL, ÉTATS-UNIS : QUI SUPPORTE ENCORE LA PROPAGANDE ? | GPTV INVESTIGATION

CINÉMA, ISRAËL, ÉTATS-UNIS : QUI SUPPORTE ENCORE LA PROPAGANDE ? | GPTV INVESTIGATION

Update: 2025-10-13
Share

Description

Le 12 octobre 2025 à 17h, Mickaël Lelièvre donnait la parole aux Français sur la crise du cinéma et leurs impôts qui la financent, et les réponses renversaient tout ce que disent les élites culturelles, sur GPTV Investigation.

Le grand désamour du public

Selon une enquête, 70 % des Français ne vont plus au cinéma, et la plupart ne comptent pas y retourner. Payer 12 à 15 euros pour un film jugé prévisible n’a plus de sens face au streaming illimité. Le cinéma, autrefois lieu populaire, devient un luxe réservé à une minorité. Passants et témoins évoquent le confort du salon, les plateformes, la perte du plaisir de la sortie. Le cinéma n’est plus un rituel, mais une dépense évitable.

Le désamour dépasse la question économique. Beaucoup dénoncent des histoires vides, formatées pour plaire aux subventions. L’art s’éloignerait du réel, dominé par une industrie parisienne coupée du peuple. Le cinéma social et poétique a laissé place à des comédies interchangeables ou drames urbains stéréotypés. Pour beaucoup, le cinéma français a perdu son âme.

Un art sous perfusion publique

Découvrir que les films sont financés par l’impôt choque nombre de passants. “On paie pour être ennuyés”, résume l’un d’eux. Le système semble verrouillé : une élite culturelle vivrait des subventions sans se soucier du public. L’argent public, censé soutenir la diversité, entretiendrait une caste déconnectée.

Certains défendent encore le financement public comme garant d’une liberté artistique. Mais pour beaucoup, cette liberté tourne à vide. Les mêmes acteurs, les mêmes récits, les mêmes causes. Tout semble calibré pour séduire les jurys, pas le peuple. La représentativité est souvent remise en cause : les films décriraient un pays imaginaire. Le cinéma français ne parlerait plus aux Français.

Le soupçon de propagande culturelle

La question idéologique revient fréquemment. Certains dénoncent la propagande hollywoodienne, d’autres une insistance politique dans les récits français. “On ne raconte plus des histoires, on fait passer des messages”, résume un jeune homme. Le cinéma serait devenu un instrument de conditionnement.

Certains vont plus loin : manipulation narrative, influence des lobbies culturels, formatage idéologique. Face à cela, le public se tourne vers d’autres horizons : cinémas indépendants, classiques en ligne, séries étrangères jugées plus proches de la réalité.

– La nostalgie du “vrai cinéma”,
 – la défiance envers les institutions culturelles,
 – et la fatigue du discours dominant :
 autant de signes d’un divorce profond entre le peuple et son écran.

Support the show

Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.

https://geopolitique-profonde.com/

Comments 
In Channel
loading
00:00
00:00
x

0.5x

0.8x

1.0x

1.25x

1.5x

2.0x

3.0x

Sleep Timer

Off

End of Episode

5 Minutes

10 Minutes

15 Minutes

30 Minutes

45 Minutes

60 Minutes

120 Minutes

CINÉMA, ISRAËL, ÉTATS-UNIS : QUI SUPPORTE ENCORE LA PROPAGANDE ? | GPTV INVESTIGATION

CINÉMA, ISRAËL, ÉTATS-UNIS : QUI SUPPORTE ENCORE LA PROPAGANDE ? | GPTV INVESTIGATION

Mickaël Lelièvre, GPTV Investigation